Au Burkina Faso et dans d’autres pays d’Afrique de l’Ouest comme le Sénégal, le nombre d’enfants de la rue augmente de jour en jour.
Des femmes sont également touchées par de la violence ou de grosses frustrations liées à leur histoire.
Les dérives potentielles et constatées (délinquance, prostitution, et autres…) sont liées à ce mal-être général,
Il est évident que les personnes affectées psychologiquement ont du mal à fonctionner normalement et à saisir les opportunités qui leur sont données.
Sans compter le contexte et les attaques au Burkina qui entraînent le déplacement de milliers de familles souvent en deuil et qui ont, de fait, tout perdu….
Aujourd’hui ces pays doivent limiter au mieux les dérives potentielles.
Les associations aidantes se sentent démunies et parfois impuissantes face aux réactions de ces jeunes souvent plein de colère ou d’abattement qui utilisent alcool ou drogues pour s’apaiser.
En effet la dimension psychologique a fait son apparition depuis peu. De ce fait, outils, méthodes et techniques d’aide à la libération des émotions, traumatismes et syndromes de stress post traumatiques font largement défaut.